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Un livre clair et libre sur la méditation

J’ai le plaisir de vous informer de la parution du dernier livre de Dominique Mérigot : “De l’accueil de Soi à l’éveil, un chemin de tendresse”, aux éditions ST Honoré.

Dominique s’intéresse depuis de nombreuses années à la question de l’Etre ; son travail en tant que psychologue clinicien au service des enfants et des familles, et, sa posture de praticien chercheur dans le domaine du Taiji  Chuan et de la méditation, se réunissent dans une approche originale de la méditation, ouverte et libre.

C’est un beau livre qu’il nous livre là ; accessible et clair!

Au fond, il nous propose de retrouver notre petit enfant intérieur et de nous abandonner,  grâce à la respiration, au monde des sensations.

J’y décèle beaucoup de points communs avec le yoga que j’enseigne.

Vous pouvez vous le procurer au tarif de 20 euros (participation à l’envoi comprise), en lui écrivant d.merigot@nordnet.fr

J’en profite pour vous signaler, en lien avec ce livre, l’organisation de deux séjours “méditation et partage” à l’ermitage de Grandval, l’un du 15 au 18 aout (trois jours et demi 150 euros) et l’autre du 23 au 25 octobre prochain (120 euros). Les inscriptions sont ouvertes par l’entremise de mon adresse mail ou bien sur le blog onglet contacts.

Je vous laisse découvrir  maintenant la présentation du livre !

« Mon cinquième livre que j’ai essayé de rédiger pour le plus grand nombre, n’est pas un roman ni apparemment  un sujet d’actualité. Même si ses conséquences pourraient apporter un changement fondamental dans notre attitude quotidienne, ce changement n’est pas pour demain. Un exemple : depuis Copernic, la terre est ronde. Nos représentations du monde en ont été bouleversées. Qu’adviendrait-il si nos représentations de l’être humain nous amenaient par exemple à considérer que la violence ne fait pas partie du fondement de l’être humain et qu’elle n’apparaît qu’avec la pensée, autrement dit avec les notions d’espace et de temps, le langage, l’imagination, la relation entre je et les autres, l’inconscient qui fait les rêves et les cauchemars, entre autres… Elle n’est pas dans son fondement une pulsion mais relève d’un mécanisme de pensée. Or la pensée humaine et toute notre belle intelligence n’apparaissent que vers les sept mois du nourrisson.

L’être humain vit pendant seize mois, de sa conception à 7 mois, grâce à sa dépendance certes, un bonheur, une paix, une absence de conflit qui ressemble un peu à un paradis terrestre. Où, dans notre corps, sommeille cette mémoire vécue pour qu’elle nous aspire au bonheur?

Ce livre s’attaque à cette question et bien d’autres qui lui sont liées : que passe-t-il à l’âge de sept mois ? Quel est ce voile qui masque la mémoire sentie et émotionnelle de notre toute première enfance ? Peut-on lever ce voile et comment, sans « rebirth »[1] ni autres techniques un peu fumeuses ? Comment dépasser nos dépendances qui tentent vainement de rejouer le lien maternel ?

En reprenant l’hypothèse plurimillénaire des védas indiens sur le SOI qui nous fonde, nous tenterons d’esquisser une méthode méditative simple et quotidienne qui nous mène à vivre notre vie de tous les jours dans la paix et la joie. Le bouddhisme l’appelle mahayana, parfois traduit par la grande attitude, une sorte d’éveil au SOI.

Ah, j’oubliais le titre de l’ouvrage : DE L’ACCUEIL DE SOI a L’EVEIL / Un chemin de tendresse »

DM.


[1] Rebirth est une pratique thérapeutique qui vise à revivre l’expérience de sa naissance.

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